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Les Juifs, le monde et l'argent par Jacques Attali ont été vendues pour EUR 8,30 chaque exemplaire. Le livre publié par Le Livre de Poche. Il contient 768 pages et classé dans le genre Romans et littérature. Ce livre a une bonne réponse du lecteur, il a la cote 3.1 des lecteurs 434. Inscrivez-vous maintenant pour accéder à des milliers de livres disponibles pour téléchargement gratuit. L'inscription était gratuite.
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Description du livre Les Juifs, le monde et l'argent : Marcus Samuel Manquant - 8 internautes sur 11 ont trouvé ce commentaire utile.Marcus Samuel Manquant
Par BP
Il est curieux que avec tous les discours de Montefiore et Hirsche, pas un mot sur Marcus Samuel et ses intérêts britanniques dans les industries du pétrole émergents à Bassorah et le canal de Suez dans les années 1880-années 90. La peinture de ces projets comme si elles ne sont que l'aide aux réfugiés russes semble un peu trompeur. La famille Samuel apparaît ailleurs dans le livre, mais pas ici. La seule Samuel apparaissant dans cette affaire est Herbert Samuel, de nombreuses années après le fait.Qu'est-ce que M. Attali a à cacher ici concernant les projets de financement britanniques en la Palestine? Les banques britanniques motifs sur le Moyen-Orient à cause du pétrole découvert à Bassorah? Il aurait pu également trouvé des citations de Churchill et Balfour sur la nécessité pour la Palestine sous contrà´le Empire britannique. Comment utile que les réfugiés russes ont servi aussi bien comme des pions pour ce jeu, nous vivons toujours avec!C'est la même chose avec la «crise» 1907 aux États-Unis. La Commission Pujo a révélé témoignage d'instructions bancaires pour centre d'échange saboter Knickerbocker Trust Company. Ce sabotage a inauguré la creation de la banque centrale privée pour contrà´ler la masse monétaire à un moment opportun dans l'histoire économique des États-Unis. On se demande si ce même «crise» peut être précipité en Chine de privatiser la banque centrale publique maintenant que le siècle chinois de "l'entrepà´t de marchandises" est sur nous.Heureusement, cette histoire est maintenant plus largement revisité puisque nous sommes maintenant dans une telle crise de confiance à l'égard de ces institutions.Il est dommage que nous devons lire les historiens qui choisissent quels faits à garder à l'intérieur et dont les faits de laisser de cà´té. Certes, il ya beaucoup de faits dans ce livre. Mais, ceux qui sont absents? Les ouvrages sérieux sur l'histoire du peuple juif ne manquent pas. Les fantasmes les plus fous sont encore bien plus nombreux. On ne saurait, sans naïveté, attendre des premiers qu'ils dissipent les seconds. On ne dira toutefois jamais assez leur nécessité pour aider les esprits raisonnables à répondre aux clichés et aux raccourcis sulfureux. La judéophobie a ses thèmes favoris : les juifs tirent, dans l'ombre, les ficelles du monde ; ils s'enrichissent avec cupidité et appauvrissent les autres. Ce n'est donc pas sans une certaine audace que Jacques Attali se lance dans une vaste fresque, d'Abraham à Ben Gourion, en passant par Marx et Rothschild, sur la tradition juive et ses rapports à l'argent. Occuper le terrain d'un lieu commun : stratégie claire, mais ici périlleuse, risquant d'accréditer des idées mettant en avant "un" peuple juif, "un" rôle particulier qu'il jouerait dans l'histoire du monde, "un" rapport tellement privilégié à l'argent qu'on pourrait parfaitement restituer son devenir à partir de ce seul fil directeur... L'ouvrage écartera bien sûr ces préjugés en entraînant le lecteur dans les passionnants aléas d'une aventure collective complexe, contradictoire et si souvent douloureuse. Ses développements, malgré l'occultation délibérée du versant religieux, feront ressortir que la richesse d'un peuple, fut-il juif, n'est jamais seulement celle de ses usuriers et de ses banquiers. Sur l'histoire du peuple juif ou de l'antisémitisme : Une histoire du peuple juif, de Chaïm Potok ; Histoire juive : faits et documents de la Renaissance à nos jours, de Renée Neher-Bernheim ; Histoire de l'antisémitisme, de Léon Poliakov ; La Nouvelle Judéophobie de Pierre-André Taguieff. --Emilio Balturi
Par BP
Il est curieux que avec tous les discours de Montefiore et Hirsche, pas un mot sur Marcus Samuel et ses intérêts britanniques dans les industries du pétrole émergents à Bassorah et le canal de Suez dans les années 1880-années 90. La peinture de ces projets comme si elles ne sont que l'aide aux réfugiés russes semble un peu trompeur. La famille Samuel apparaît ailleurs dans le livre, mais pas ici. La seule Samuel apparaissant dans cette affaire est Herbert Samuel, de nombreuses années après le fait.Qu'est-ce que M. Attali a à cacher ici concernant les projets de financement britanniques en la Palestine? Les banques britanniques motifs sur le Moyen-Orient à cause du pétrole découvert à Bassorah? Il aurait pu également trouvé des citations de Churchill et Balfour sur la nécessité pour la Palestine sous contrà´le Empire britannique. Comment utile que les réfugiés russes ont servi aussi bien comme des pions pour ce jeu, nous vivons toujours avec!C'est la même chose avec la «crise» 1907 aux États-Unis. La Commission Pujo a révélé témoignage d'instructions bancaires pour centre d'échange saboter Knickerbocker Trust Company. Ce sabotage a inauguré la creation de la banque centrale privée pour contrà´ler la masse monétaire à un moment opportun dans l'histoire économique des États-Unis. On se demande si ce même «crise» peut être précipité en Chine de privatiser la banque centrale publique maintenant que le siècle chinois de "l'entrepà´t de marchandises" est sur nous.Heureusement, cette histoire est maintenant plus largement revisité puisque nous sommes maintenant dans une telle crise de confiance à l'égard de ces institutions.Il est dommage que nous devons lire les historiens qui choisissent quels faits à garder à l'intérieur et dont les faits de laisser de cà´té. Certes, il ya beaucoup de faits dans ce livre. Mais, ceux qui sont absents? Les ouvrages sérieux sur l'histoire du peuple juif ne manquent pas. Les fantasmes les plus fous sont encore bien plus nombreux. On ne saurait, sans naïveté, attendre des premiers qu'ils dissipent les seconds. On ne dira toutefois jamais assez leur nécessité pour aider les esprits raisonnables à répondre aux clichés et aux raccourcis sulfureux. La judéophobie a ses thèmes favoris : les juifs tirent, dans l'ombre, les ficelles du monde ; ils s'enrichissent avec cupidité et appauvrissent les autres. Ce n'est donc pas sans une certaine audace que Jacques Attali se lance dans une vaste fresque, d'Abraham à Ben Gourion, en passant par Marx et Rothschild, sur la tradition juive et ses rapports à l'argent. Occuper le terrain d'un lieu commun : stratégie claire, mais ici périlleuse, risquant d'accréditer des idées mettant en avant "un" peuple juif, "un" rôle particulier qu'il jouerait dans l'histoire du monde, "un" rapport tellement privilégié à l'argent qu'on pourrait parfaitement restituer son devenir à partir de ce seul fil directeur... L'ouvrage écartera bien sûr ces préjugés en entraînant le lecteur dans les passionnants aléas d'une aventure collective complexe, contradictoire et si souvent douloureuse. Ses développements, malgré l'occultation délibérée du versant religieux, feront ressortir que la richesse d'un peuple, fut-il juif, n'est jamais seulement celle de ses usuriers et de ses banquiers. Sur l'histoire du peuple juif ou de l'antisémitisme : Une histoire du peuple juif, de Chaïm Potok ; Histoire juive : faits et documents de la Renaissance à nos jours, de Renée Neher-Bernheim ; Histoire de l'antisémitisme, de Léon Poliakov ; La Nouvelle Judéophobie de Pierre-André Taguieff. --Emilio Balturi
Le Titre Du Livre : Les Juifs, le monde et l'argent
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